•  Une publication parue cette semaine a attiré mon attention. Il s’agit ni plus ni moins de la généalogie d’Adolf Hitler qui aurait des ascendants juifs !! Dans son article, Gilles Bonafi présente une fiche des Renseignements généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, et où on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild. Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la Seconde Guerre mondiale. Le Livre Jaune n°7 (Collectif d’auteurs, Ed. Félix, Fritz Springmeier) s’était déjà penché sur ses origines et avait écrit : « Walter Langer, un psychanalyste, démontre dans son livre "The mind of Hitler", preuves à l’appui, qu’Hitler était le petit-fils du baron de Rothschild de Vienne. La police autrichienne a constitué un dossier secret sur les origines d’Hitler.

     

    Le chancelier Dollfuss avait ordonné cette enquête. On a découvert que sa grand-mère, Maria Anna Schicklgruber, travaillait au service du baron Rothschild, quand elle est tombée enceinte. Quand les Rothschild ont appris la nouvelle, ils l’ont envoyée dans une clinique de la ville dont elle était originaire. »(1)

    « C’est là qu’est né en 1837, Aloïs Hitler, le père d’Adolf Hitler.
    » En effet, celui qui a diligenté cette enquête, Engelbert Dollfuss, chancelier fédéral de l’Autriche du 20 mai 1932 au 25 juillet 1934, ainsi que dictateur à partir du 4 mars 1933 s’opposait à Hitler. Il avait ainsi tenté de déstabiliser son pire ennemi. Hitler l’a d’ailleurs fait assassiner le 25 juillet 1934 par des nazis déguisés en uniforme militaire.
    Hansjurgen Koehler, un officier de haut grade de la Gestapo, qui travaillait pour Reinhard Tristan Eugen Heydrich, adjoint direct de Heinrich Himmler, aurait conservé les documents relatifs à cette enquête, documents qu’il a dévoilés en partie dans son livre « A l’Intérieur de la Gestapo » et dans lequel on retrouve les origines d’Adolf Hitler à la page 143. Mais, la deuxième source fondamentale concernant les origines d’Hitler provient de Walter Langer. Walter Charles Langer (1899-1981) n’était pas n’importe qui.
    Il a été professeur à l’université d’Harvard mais surtout, il a été responsable d’un rapport intitulé « A Psychologial Profile of Adolf Hitler His Life and Legend » sur le profil psychologique d’Hitler pour l’« Office of Strategic Services » basé à Washington. Plus étonnant encore, son frère aîné William était le responsable du département d’histoire à l’université d’Harvard et surtout, à la tête de la section analyse et recherche de l’Office américain des Services Stratégiques (OSS). (...) C’est pourquoi « The Mind of Adolf Hitler, The Secret Wartime Report » (qui est en fait la publication du rapport secret commandité par l’OSS : « A Psychologial Profile of Adolf Hitler His Life and Legend ») écrit en 1972 par Walter Charles Langer, qui affirme qu’Hitler était le fils illégitime de Maria Anna Schicklgruber et de Salomon Mayer Rothschild, n’est pas un livre comme les autres et que ses affirmations concernant les origines d’Hitler sont à prendre avec le plus grand sérieux.(1)

    C’est aussi Alice Miller, pédopsychiatre polonaise réfugiée en Suisse et morte il y a une dizaine de jours, qui a dit qu’Hitler avait des origines juives. En 1980, dans son ouvrage intitulé C’est pour ton bien, Alice Miller avait notamment fait valoir l’idée que le père d’Adolf Hitler, en frappant son fils et en le persécutant moralement, l’avait poussé à se dévaloriser et à mépriser les Juifs. Elle explique le processus de la folie destructrice.
    Elle prétend que le père d’Hitler, Aloïs Hitler fut le fils naturel d’un commerçant juif chez qui sa grand-mère goy était bonne. Le père d’Hitler était très violent. Hitler a d’ailleurs, totalement détruit le village de son père en Autriche. Hitler n’a immigré en Allemagne qu’en 1912, pour fuir son devoir de citoyen austro-hongrois ; il n’a acquis la nationalité allemande qu’en 1932 !

    Une autre version qui aboutit à la même conclusion est rapportée dans le journal L’Express par Ron Rosenbaum. « Hitler avait-il des origines juives, comme l’affirmèrent certains à partir des Mémoires de Hans Frank ? La scène primitive de la controverse sur la généalogie de Hitler est le site de Döllersheim, dans le Waldviertel, contrée agricole du nord de l’Autriche, près de la frontière tchèque. Là se trouvait un petit village, totalement rasé dans des circonstances non élucidées - ordre de Hitler ? - pendant la guerre. Il possédait une église qui abritait autrefois le registre paroissial où ont été consignés certains épisodes de l’histoire familiale du Führer
    : la naissance illégitime de son père, Aloïs Schiklgruber, l’étrange mariage tardif de la mère de celui-ci avec le grand-père officiel de Hitler, Georg Hiedler, sans que celui-ci devienne pour autant responsable de l’enfant, et enfin le changement de nom. Quarante ans après être né Alois Schiklgruber, le père du futur Führer est en effet devenu Aloïs Hitler. Treize ans avant la naissance d’Adolf. (...) »(2)
     Image
    Le chantage du neveu

    Que trouve-t-on à l’appui de cette théorie ? Essentiellement une source :
    le témoignage de Hans Frank, condamné à mort comme criminel de guerre à Nuremberg. Avant d’être pendu, il rédigea dans sa cellule des Mémoires qui ne furent publiées qu’en 1953. L’ancien chef nazi prétendait que, alors jeune avocat au service de Hitler, il fut, en 1930, chargé par celui-ci d’une enquête de confiance. Hitler faisait l’objet d’un chantage de la part d’un jeune demi-neveu, William Patrick Hitler, qui vivait alors avec sa mère à Liverpool : il lui réclamait de l’argent, sous la menace de révéler son secret de famille à la presse anglo-saxonne. Le récit de Hans Frank est en partie vrai : non seulement ce chantage a eu lieu, mais Hitler a payé son neveu. Mais de quel secret de famille s’agissait-il ? Hans Frank dit avoir découvert des « documents de paternité » - une correspondance entre une famille juive et les grands-parents paternels de Hitler. Hans Frank ajoute que, pour repousser l’idée de cette généalogie, Adolf Hitler se persuadait que l’enfant était en réalité de Georg Hiedler, mais que le couple, pauvre, avait monté ce stratagème pour obtenir, par chantage, de l’argent d’une riche famille juive. Selon Hans Frank, Hitler préférait ainsi faire de ses grands-parents de misérables petits escrocs, plutôt que d’accepter l’idée d’un grand-père juif.(..) Le psychologue américain G.M.Gilbert, confident de Hans Frank, s’est dit persuadé que Hans Frank n’avait pas inventé cette histoire de la filiation incertaine et y décelait l’origine de l’antisémitisme du dictateur. Selon le Dr Gilbert, l’obsession de Hitler que cette histoire puisse être vraie « ne pouvait se résoudre dans son cerveau malade qu’en montrant qu’il n’y avait pas de pire antisémite que lui sur la terre ; aussi, comment aurait-il pu être juif ? ».(2)

    Si les faits sont avérés, on comprendrait la mécanique du fonctionnement du cerveau de Hitler. Ron Rosembaum écrit : « Certains veulent y voir l’origine de son antisémitisme. Les doutes sur sa filiation et sa propre pureté raciale, la crainte d’avoir hérité du "sang juif" d’un grand-père inconnu, auraient selon eux poussé Hitler à des attitudes et des actes d’un antisémitisme toujours plus virulent pour prouver (à ses propres yeux autant qu’à ceux des autres) qu’il n’avait pas été "infecté", se débarrassant de ses soupçons quant à l’existence d’un juif en lui en éliminant tous les juifs autour de lui. »(2) Gilles Bonafi arrive à la même conclusion : « ...En effet, comment analyser la haine d’Hitler pour les juifs si on connaît ses origines sémites ? Se cacherait-il quelque chose de plus important ? Hitler a-t-il obéi à des puissances supérieures comme cela est écrit sur sa fiche des Renseignements généraux ? » (1) L’imbrication de l’ascendance juive et Hitler ne s’arrête pas là. L’histoire des soldats juifs d’Hitler demeure au rang des pages occultées de la Seconde Guerre occidentale. Cependant un ouvrage, agrémenté par de nombreux documents et divers témoignages inédits, lève le voile et retrace l’histoire de ces nom-breux Allemands d’ascendance juive qui, à des degrés divers, ont rejoint l’armée allemande pour combattre et servir les idéaux et intérêts d’Hitler. Bryan M.Rigg explique comment ces hommes ont délibérément choisi de servir les ennemis de leur peuple dans l’espoir de protéger leur famille mais aussi simplement par patriotisme. On compte parmi eux des Amiraux et des Feld maréchaux qui ont reçu de la main d’Hitler leur « attestation d’aryanité ».(3)

    Comment alors expliquer le comportement d’Hitler et de tous ceux d’ascendance juive qui ont voulu effacer leur racine ? Une expression à la mode : la haine de soi, terme d’ailleurs, utilisé dans un autre contexte par un homme politique français pour s’affranchir de la tyrannie de la repentance. Cette expression de haine de soi conceptualisée par Albert Memmi dans « l’étude du colonisé », a été aussi vécue par les beurs.
    L’injonction qui leur est faite à l’intégration produit donc une rupture au sein des ex-colonisés, dans la logique des élites indigènes de l’époque coloniale, ayant pour mission de « civiliser » les « masses barbares ». Une partie des individus ayant émergé du mouvement social issu de l’émigration des années 1980 peuvent être identifiés à cette catégorie, comme certaines figures médiatiques de la « beuritude » (Malek Boutih, Fadéla Amara, Rachida Dati). Cette figure de l’héritier se rapproche de la première réponse du colonisé au rapport colonial qu’identifie Memmi : l’amour du colonisateur et la haine de soi.

    Il semble que les Juifs n’échappent pas à ce "complexe" de la haine de soi. Pierre Itshak Lurcat explique cette haine de soi en citant plusieurs exemples pour conforter son plaidoyer. Ecoutons-le : « (...) C’est le philosophe juif allemand Theodor Lessing qui créa l’expression ´´Jüdische Selbsthass´´ - haine de soi juive - pour décrire ce phénomène bien particulier, affectant une partie de l’intelligentsia juive européenne au début du siècle dernier. Dans un livre paru en 1930, Lessing décrivait six cas de Juifs atteints de haine de soi caractérisée, sous sa forme la plus aiguë, qui les conduisit presque tous au suicide. Le plus célèbre parmi eux est Otto Weininger, qui se suicida un an après s’être converti au protestantisme. (...) On prête à Adolf Hitler cette boutade sinistre, au sujet de Weininger : "Il n’y avait qu’un seul Juif honnête, et il s’est suicidé." Selon une des explications, Weininger aurait voulu échapper définitivement à sa condition juive, ayant expliqué dans son livre que le christianisme était "la plus haute expression de la foi", tandis que le judaïsme était à ses yeux la "forme extrême de la couardise...". Il attribuait à l’influence juive la décadence de son époque, ce qui explique que les nazis avaient utilisé certains extraits de son oeuvre dans leur propagande ».(4)

    « (...) Simone Weil, elle aussi touchée par cette maladie, passe en revue plusieurs Juifs célèbres atteints de haine de soi. Rachel Levine-Varnhagen (1771-1832), femme de lettres juive allemande, avait pour « aspiration centrale de se dépêtrer de son judaïsme », selon sa biographe Hannah Arendt (qui avait elle-même un rapport ambigu au judaïsme et à Israël). Varnhagen ira jusqu’à écrire, à propos de sa judéité : « Jamais, à aucune seconde, je n’oublie cette infamie. Je la bois dans l’eau, je la bois dans le vin, je la bois avec l’air, à chaque respiration. » Elle dira encore que « le Juif doit être exterminé en nous, même au prix de nos vies ». Giniewski compare Varnhagen à Simone Weil, elle aussi atteinte de haine de soi, de manière explicite : « Mon attitude envers moi-même est un mélange de mépris, de haine et de répulsion. »(4)

    Une haine florissante

    « Shmuel Trigano a consacré un numéro de la revue Controverses au phénomène des « alterjuifs » - néologisme créé par la psychiatre Muriel Darmon -, ces intellectuels juifs, en France et ailleurs, qui épousent systématiquement la cause des ennemis d’Israël. En Israël même, la haine de soi juive est florissante dans tous les secteurs de la vie intellectuelle, artistique et politique(...)... Et c’est aussi cette haine de soi pathologique qui explique le comportement délirant de certains « alterjuifs » en France (et ailleurs), dont nous avons eu plusieurs illustrations récentes, à l’occasion de la guerre contre le Hamas à Ghaza. Quand un auteur de guides touristiques (membre de l’association de Juifs antisémites UJFP) écrit dans les colonnes du Monde qu’il faut « effacer le nom de son grand-père à Yad Vashem », il fait preuve d’une haine de soi qui apparaît bien dans ces lignes : « En conservant au Mémorial de Yad Vashem, au coeur de l’Etat juif, le nom de mes proches, votre Etat retient prisonnière ma mémoire familiale derrière les barbelés du sionisme... »(4)

    Curieusement, s’agissant du comportement d’Hitler - si on prête crédit à son ascendance juive - alors que tout l’argumentaire est en faveur d’un « complexe de haine de soi », Pierre Itshak Lurca bifurque vers une autre explication : l’antisémitisme qui imprégnait la société viennoise du début du siècle : Ecoutons-le : « (...) Il faut bien comprendre que le racisme contre les Juifs (l’antisémitisme), est ancien. Ce n’est pas Hitler qui l’a inventé, ni les Allemands ! Le nazisme reprend l’antisémitisme ancien et y ajoute un "racisme biologique". Hitler va donc reprendre cet antisémitisme ancien. Il y ajoute des théories fumeuses, soi-disant "scientifiques" qui prouveraient la supériorité de la soi-disant "race aryenne" (avec au-dessus de tout, les Allemands) sur la "race juive". Il s’appuie sur des théories assez fumeuses émises en particulier par un Français, le comte de Gobineau, au XIXe siècle. Hitler a été au contact de l’antisémitisme (racisme contre les Juifs) qui existait à Vienne quand il était jeune : Hitler, sans métier, sans logement, clochardisé, devra quelque temps loger dans un asile pour SDF. C’est à cette époque qu’il sera au contact de journaux racistes contre les Juifs. Toute sa haine s’exprimera à partir de là contre les Juifs ».(5)
     
    Un fait pourtant inexplicable est l’accord de l’Agence juive pour le transfert des Juifs vers la Palestine. Mais ceci est une autre histoire. C’est dire que les choses ne sont pas aussi simples et la diabolisation du IIIe Reich par les médias occidentaux est tout, sauf impartiale.


    votre commentaire
  •  Les 13 familles

    1. Les Astor 
    2. Les Bundy
    3. Les Collins
    4. Les DuPont
    5. Les Freeman
    6. Les Kenedy
    7. Les Li
    8. Les Onassis
    9. Les Reynolds
    10. Les Rockefeller
    11. Les Rothschild
    12. Les Russell
    13. Les Van Duyn ? pas de certitude sur la 13eme 

    qui communique avec les familes:
    Les Disney
    Les Krupp
    Les McDonald
    Les Delano 
    Les Aldrich
    Les Bush
    Les Chanler
    Les Ford

     Le conseil des 13 (alias les 13 familles)

    "C'est le grand conseil des druides - les 13 grands druides qui forment la prêtrise privée des
    Rothschild."

    Le conseil des 33
    "Y sont représentés les francs-maçons des rangs les plus élevés du monde de la politique, de
    l'économie et de l'Eglise. Ils sont l'élite du "Comité des 300"." (D'après Todd et Coralf)

    Le comité des 300
    Créé en 1729 par la BEIMC (British East India Merchant Company) pour s'occuper des affaires
    bancaires et commerciales internationales et soutenir le trafic d'opium, le Comité des 300 est dirigé
    par la Couronne britannique. Il représente le système bancaire mondial dans sa globalité et compte
    en plus, les représentants les plus importants des nations occidentales. Toutes les banques sont
    reliées aux Rothschild par le "Comité des 300". (128)

    Le Dr John Coleman publie dans son livre "Conspirators Hierarchy : The Committee of 300" (La
    hiérarchie des conspirateurs : Le Comité des 300) les noms de 290 organisations, 125 banques ainsi
    que ceux de 341 membres actuels ou anciens du Comité des 300 ; je vous communique quelques noms :
    Balfour, Arthur
    Brandt, Willy 
    Bulwer-Lytton, Edward (auteur de "The Coming Race")
    Bundy, McGeorge
    Bush, George
    Carrington, lord
    Chamberlain, Huston Stewart
    Constanti, maison d'Orange
    Delano, famille, Frederic Delano fut membre du comité directeur de la Federal Reserve
    Drake , Sir Francis
    Du Pont, famille
    Forbes, John M.
    Frédéric IX, foi du Danemark
    George, Lloyd
    Grey, Sir Edward
    Haig, Sir Douglas
    Harriman, Averill
    Hohenzollern, maison des
    House, Colonel Mandel
    Incheape, lord
    Kissinger, Henry
    Lever, Sir Harold
    Lippmarm, Walter
    Lockheart, Bruce
    Loudon, Sir John
    Mazzini, Guiseppe
    Mellon, Andrew
    Milner, lord Alfred
    Mitterand, François
    Morgan, J. P.
    Norman, Montague
    Oppenheimer, Sir Harry
    Palme, Olof
    Princesse Be atrix
    Rainier, prince
    Reine Elisabeth II
    Reine Juliana
    Retinger, Joseph (Ratzinger ?)
    Rhodes, Cecil
    Rockefeller, David
    Rothmere, lord
    Rothschild, baron Edmond de
    Shultz, George
    Spellman, cardinal
    Thyssen-Bornemisza, baron Hans Heinrich
    Vanderbilt, famille
    von Finck, baron August
    von Habsburg, Otto
    von Thum und Taxis, Max
    Warburg, S. G.
    Warren, comte
    Young, 0wen


    votre commentaire
  •  Parce que la Grande-Bretagne et la France étaient les deux plus grandes puissances mondiales vers la fin du 18e siècle, Weishaupt ordonna aux Illuminati de fomenter les guerres coloniales, y compris la guerre d'indépendance américaine, pour affaiblir l'Empire britannique. Il ordonna aussi d'organiser la Révolution française afin de détruire l'Empire français. 

    Weishaupt décida que la Révolution française aurait lieu en 1789. Cependant, en 1784, un acte de la Providence mis le gouvernement de Bavière en possession de documents prouvant l'existence des Illuminati. Ces documents auraient pu sauver la France si le gouvernement français n'avait pas refusé de les croire.

    Un acte de la Providence

    Quel était cet acte de la Providence? Voici:

    En 1784, Weishaupt avait émis l'ordre de préparer la Révolution française. Un écrivain allemand du nom de Zwack avait mis cet ordre par écrit dans un livre qui contenait toute l'histoire des Illuminati et le plan de Weishaupt. Une copie de ce livre fut envoyée aux Illuminés en France, dirigés par Robespierre,que Weishaupt avait délégué pour fomenter la révolution. Le messager qui transportait ce livre fut frappé par la foudre et tué, alors qu'il se rendait de Frankfort à Paris. La police découvrit sur lui les documents subversifs, et les remit aux autorités concernées.

    Après une minutieuse étude du complot, le gouvernement bavarois ordonna à la police de faire une descente dans les loges du Grand Orient nouvellement organisées par Weishaupt, et dans les maisons de ses associés les plus influents. De plus amples preuves furent découvertes, convaincant les autorités que les documents saisis étaient d'authentiques copies de la conspiration par laquelle les Illuminati prévoyaient se servir de guerres et de révolutions pour arriver à l'établissement d'un gouvernement mondial, dont ils entendaient bien saisir le contrôle une fois la chose faite. (Note: C'est tout à fait conforme avec le complot actuel de l'Organisation des Nations Unies).

    En 1785, le gouvernement bavarois interdit les Illuminati, et ferma les loges du Grand Orient. En 1786, ce gouvernement publia tous les détails de la conspiration, le titre anglais de cette publication étant "The Original Writings of the Order and Sect of the Illuminati" (Les Écrits originaux de l'ordre et la secte des Illuminati). Des copies de ce livre furent envoyées à tous les chefs d'Etat et chefs religieux en Europe. Mais le pouvoir des Illuminati était si grand que cet avertissement du gouvernement de Bavière fut ignoré. Néanmoins, le mot "Illuminati" devint impopulaire, et ce groupe décida alors de travailler dans le secret.

    Durant la même période, Weishaupt ordonna aux Illuminés d'infiltrer les loges de la franc-maçonnerie bleue, et de former leur propre société secrète à l'intérieur de ces sociétés secrètes maçonniques. Seulement les maçons qui se montraient internationalistes, et ceux dont la conduite prouvait qu'ils avaient rejeté Dieu, étaient initiés dans l'Ordre des Illuminati.

    Afin d'infiltrer les loges maçonniques en Grande-Bretagne, Weishaupt invita John Robison en Europe. Robison était un franc-maçon de rite écossais de très haut degré. Professeur de philosophie naturelle à l'Université d'Edimbourg et secrétaire de la Société Royale d'Edimbourg, Robison ne crut pas au trompe-l'oeil des Illuminati qui voulaient faire croire que leur objectif était de créer une dictature pour aider la population, mais il garda ses réflexions pour lui-même, de sorte que les Illuminati lui firent assez confiance pour lui confier une copie de la conspiration de Weishaupt pour étude, et pour garder en sûreté.

    Parce que les avertissements du gouvernement bavarois concernant les Illuminati avaient été ignorés, la Révolution française éclata en 1789, telle que prévue par Weishaupt. Afin d'alerter les autres gouvernements du danger imminent, et d'informer les franc-maçons que leurs loges avaient été infiltrées par les Illuminati, Robison publia, en 1789, un livre intitulé "Proof of a Conspiracy to Destroy All Governments and Religions" (Preuves d'une conspiration pour détruire tous les gouvernements et religions), mais ses avertissements furent aussi ignorés.


    votre commentaire
  •  Adam Weishaupt est né le 6 février 1748 à Ingolstadt. Il suivit des études chez les jésuites & devint professeur de droit canonique à l’Université d’Ingolsadt an 1775. Weishaupt fut fait franc-maçon au sein d’une Loge de la Stricte Observance, la Loge Théodore du Bon Conseil, à Munich en 1777.


    Désireux de régénérer la société allemande, il fonde avec le baron de Knigge une société secrète. En s’inspirant des constitutions maçonniques, il fonde l’Ordre Secret des Illuminés Germaniques. Il partage l’ordre en 13 grades répartis en 2 classes :


    1. Édifice inférieur : novice, minerval, illuminé mineur, illuminé majeur

    2. Édifice supérieur : apprenti, compagnon, maître, écuyer écossais, chevalier écossais, épopte, prince, mage-philosophe et homme-roi.


    Chaque affilié porte un nomen mysticum, ainsi Weishaupt s’était attribué celui de Spartacus. Il initia Goethe, Herder, Schard, von Fritsch, Metternich.


    La liste des membres les plus connus est la suivante :


    - Adam Weishaupt

    - Adolph Von Knigge

    - Xavier von Zwack

    - Christoph Friedrich Nicolai [Nicholai]

    - Westenrieder

    - Hertel

    - Thomas Maria De Bassus

    - Johann Simon Mayr

    - Dietrich

    - Johann J. C. Bode

    - William von Busche

    - Saint Germain

    - de Constanzo

    - Ferdinand of Brunswick

    - Ernst von Gotha

    - Johann W. Goethe


    À côté des grades connus, Weishaupt institue les Insinuants qui espionnaient les profanes et les membres de l’Ordre.

    La majorité des informations relatives aux rituels & objectifs de l’Ordre sont issues de papiers personnels & de correspondances trouvées lors d’une perquisition à la résidence de Xavier Zwack, à Landshut le 11 octobre 1786, ainsi qu’au château du Baron Bassu à Sondersdorf en Bavière en 1787. Ces documents furent publiés par le gouvernement bavarois en 1787.


    Le but officiel des Illuminati était — selon Barruel lui-même et Robison — d’éduquer les hommes afin de les rendre meilleurs par la libre-pensée & par la libération de la superstition & des préjugés. C’est ce qui a valu aux Illuminati l’image de « terroristes » cherchant la destruction de l’Église & du christianisme. De même, la volonté de Weihaupt de libérer les hommes de l’esclavage fut interprétée par ses détracteurs comme une volonté de détruire l’État & la société.


    Concernant l’Ordre, celui-ci recrutait des maçons ou des non maçons et les seules qualités dont devaient faire preuve les candidats ne peuvent être mieux expliquées que par Weishaupt lui-même :

    « Celui qui ne ferme pas ses oreilles aux lamentations des miséreux, ni son cœur à la pitié ; celui qui est l’ami et le frère de l’infortuné ; celui qui a un coeur capable d’amour et d’amitié ; celui qui est tenace dans l’adversité… ; celui qui ne se moque pas du faible ; celui dont l’âme est susceptible de concevoir de grands desseins, désireux de s’élever au-dessus des basses motivations et de distinguer par lui-même ses actes ; celui qui ne considère aucune connaissance comme inessentielle, considérant la connaissance de l’humanité comme son étude d’élection ; celui qui, lorsque la vérité et la vertu sont mises en doute, rejette l’approbation de la multitude, est assez courageux pour suivre ce que lui dicte son propre coeur, celui-là est le candidat approprié». Adam Weishaupt, Gotha : 1787.


    « L’Égalité et la Liberté sont les droits essentiels que l’Homme, dans sa perfection originaire et primitive, reçut de la Nature. La première atteinte à cette Égalité fut portée par la propriété. La première atteinte à la Liberté fut portée par la Société et les gouvernements. Ces seuls appuis de la propriété et des gouvernements sont les lois civiles et religieuses. Donc, pour rétablir l’Homme dans ses droits primitifs d’Égalité et de Liberté, il faut commencer par détruire toute religion, toute société civile, et finir par l’abolition de la propriété. »


    Ce texte retrouvé dans les archives de l’Ordre des Illuminés de Bavière nous fait comprendre le lien étroit qui peut exister entre la pratique révolutionnaire libertaire et la praxis de certaines sociétés initiatiques.


    Le secret était absolu au sein de l’Ordre & il était interdit d’en parler aux non-membres. Cela se conçoit très aisément si l’on pense à l’époque & au lieu où il fut créé, car, comme le dit si bien Thomas Jefferson, :

    « Weishaupt vivait dans la tyrannie d’un despote et des prêtres, il savait que la prudence était nécessaire dans la diffusion des informations, et des principes de la morale. Ceci a donné un air de mystère à ses visions et fut la base de son bannissement… Si Weishaupt avait écrit ici (aux États-Unis), où aucun secret n’était nécessaire afin de rendre les hommes plus sages & vertueux, il n’aurait eu à penser à mettre en place une machine secrète pour ce faire ».


    En 1785, après enquête, Weishaupt se vit retirer sa chaire & banni de Bavière. Il se rendit alors à Regenburg, où il trouva asile auprès du Comte de Saxe-Gotha, et il deviendra professeur à l’Université de Gottingen jusqu’à sa mort en 1830.


    Pour sa défense, Weishaupt écrivit : « J’ai conçu une explication de la Franc-Maçonnerie qui a tous les avantages, et qui invite les chrétiens de toutes confessions à se libérer graduellement des préjugés de la religion, qui cultive les vertus sociales et les anime par la promesse d’un bonheur universel, dans un état de liberté & d’égalité morale, libéré des liens de la subordination, du rang et de la richesse. Mon explication est juste & complète ; mes moyens sont irrésistibles & efficaces. Notre association secrète œuvre de manière à ce que rien ne lui résiste & à ce que l’homme soit bientôt libre & heureux. Pour améliorer l’homme par l’Illumination des vertus actives, de l’engager par ses motivations les plus fortes, à rendre la réussite facile et certaine… voilà, en vérité, ce qui sera l’occupation des natures nobles… Et quel est le but général ? Le bonheur de la race humaine… Lorsque nous voyons les méchants si puissants et les pauvres si faibles, & combien est vaine la lutte isolée contre le courant général du vice et de l’oppression, que naît dans l’esprit qu’il est possible de constituer une association durable des personnes les plus valables qui travailleraient ensembles à la destruction des obstacles au bonheur humain… »


    Tout cela est bien loin de ce que la littérature de gare nous dit des buts officiels ou officieux de l’Ordre, n’est-ce pas ? Pas de volonté de prendre le pouvoir ou de diriger le monde, mais bien la volonté de se battre contre l’oppression & le consensus de la société bourgeoise d’Ancien Régime.


    votre commentaire
  •  

    Les Illuminati sont une "élite dans l'élite". C'est la plus ancienne et la plus secrète des organisations des "Maîtres du Monde". La plupart de ces organisations ont un siège social et des membres dont on connaît l'identité. Mais les membres des Illuminati ne sont pas connus de manière certaine, même si certains noms circulent avec insistance. Il s'agit de grandes familles capitalistes ou issues de la noblesse, comme par exemple les Rothschild, les Harriman, les Russel, les Dupont, les Windsor, ou les Rockefeller (notamment l'incontournable David Rockefeller, également co-fondateur du Groupe de Bilderberg et du CFR).

    Les Illuminati existent sous leur forme actuelle depuis 1776, date de fondation de l'Ordre des Illuminati en Bavière par Adam Weishaupt, un ancien Jésuite. Leur projet était de changer radicalement le monde, en anéantissant le pouvoir des régimes monarchiques qui, à cette époque, entravaient le progrès de la société et des idées. La Révolution Française et la fondation des Etats-Unis auraient été des résultats de leur stratégie. Pour les Illuminati, la démocratie politique était un moyen et non une fin en soi. Selon eux, le peuple est par nature ignorant, stupide, et potentiellement violent. Le monde doit donc être gouverné par une élite éclairée. Au fil du temps, les membres de ce groupe sont passés du statut de conspirateurs subversifs à celui de dominateurs implacables dont le but essentiel est de conserver leur pouvoir sur la population.

    La création des Illuminati marquait le lancement d'un Plan conçu pour se dérouler sur plusieurs siècles, en utilisant le contrôle du système financier naissant pour parvenir une domination totale sur le monde. La réalisation du Plan s'est ensuite transmise comme un flambeau de génération en génération, au sein d'une élite héréditaire d'initiés qui ont su l'adapter aux évolutions technologiques, sociales, et économiques.

    Contrairement aux autres organisations des Maitres du Monde, les Illuminati ne sont pas un simple "club de réflexion" ou "réseau d'influence". Il s'agit d'une organisation dont la véritable nature est ésotérique ou "occulte".

    Les dirigeants politiques ou économiques se présentent au public comme des personnes éminemment rationnelles et matérialistes. Mais le public serait étonné d'apprendre que certaines de ces personnes participent à des cérémonies étranges, dans des sociétés secrètes où se perpétuent le culte des dieux égyptiens et babyloniens: Isis, Osiris, Baal, Moloch, ou Sémiramis.

    Le terme "Illuminati" signifie littéralement "les Illuminés" (du latin "illuminare": illuminer, connaître, savoir).

    Les Illuminati se considèrent en effet comme détenteurs d'une connaissance et d'une sagesse supérieure, héritées de la nuit des temps, et qui leur donne une légitimité pour gouverner l'humanité. Les Illuminati sont la forme moderne d'une société secrète très ancienne, la "Fraternité du Serpent" (ou "Confrérie du Serpent"), dont l'origine remonte aux racines de la civilisation occidentale, à Sumer et Babylone il y a plus de 5000 ans.

    La civilisation qui domine le monde aujourd'hui est en effet la prolongation de la civilisation Sumérienne, qui a inventé tout ce qui caractérise la civilisation occidentale: l'administration d'état, l'argent, le commerce, les taxes et les impôts, l'esclavage, les armées organisées, une expansion fondée sur des guerres perpétuelles et l'asservissement des autres peuples. Ce fut aussi la première civilisation à détruire son environnement. Pratiquant une agriculture intensive après avoir inventé l'irrigation, les civilisations Sumérienne et Babylonienne ont transformé des prairies verdoyantes en un désert qui est aujourd'hui l'Irak.

    Depuis Sumer et Babylone, la Fraternité du Serpent s'est perpétuée en prenant des formes et des noms multiples à travers les époques, exerçant son influence sur les religions et les pouvoirs politiques successifs, dans une longue filiation qui inclut les "écoles de mystère" égyptiennes et grecques, l'église chrétienne de Rome (utilisée comme "véhicule" par la "Fraternité" pour s'implanter en Europe), les Mérovingiens (d'où le personnage "Mérovingien" dans le film "Matrix"), les Templiers (et leurs nombreuses ramifications - Franc-Maçons, Rose-Croix, Prieuré de Sion, Ordre Militaire et Hospitalier de St Jean de Jerusalem, Ordre de Malte...), et enfin les "Illuminati" et les organisations qui y sont rattachées.

    Le symbole des Illuminati est présent sur les billets de 1 dollar: une pyramide dont le sommet (l'Elite) est éclairé par l'oeil de la conscience et domine une base aveugle, faite de briques identiques (la population).

    Les deux mentions en latin sont très significatives. "NOVUS ORDO SECLORUM" signifie "nouvel ordre pour les siècles". En d'autres termes: nouvel ordre mondial. Et "ANNUIT CŒPTIS" signifie: "notre projet sera couronné de succès".

    Un projet aujourd'hui proche de sa réalisation finale.


    votre commentaire