•  Voici comment les auteurs entament le Chapitre Deux de leur livre : « En octobre 1942, dix mois après l'entrée dans la Deuxième Guerre Mondiale, les USA préparaient leur premier assaut contre les forces militaires nazies. Prescott Bush était directeur associé de Brown Brothers Harriman. Son fils George âgé de 18 ans, le futur président des USA, avait juste commencé sa formation pour devenir pilote naval. Le 20 octobre 1942, le gouvernement US a ordonné la saisie des opérations bancaires allemandes nazies à New York, qui étaient gérées par Prescott Bush.


    Sous le Trading with the Enemy Act (loi sur le commerce avec l'ennemi), le gouvernement a pris le contrôle de l'Union Banking Corporation, dont Bush était un directeur. Le Alien Property Custodian US (gardien de la propriété étrangère) a saisi le capital social de l'Union Banking Corp., propriété de Prescott Bush, de E. Roland « Bunny » Harriman, de trois cadres nazis, « et de deux autres associés de Bush. »

    T&C continuent : « Le 26 octobre 1942, les troupes US étaient en route pour l'Afrique du Nord. Le 28 octobre, le gouvernement a émis des ordres pour saisir deux organisations de couverture nazies dirigées par la banque des Bush-Harriman : Holland-American Trading Corporation et Seamless Steel Equipment Corporation.

    Les forces US ont débarqué sous le feu près d'Alger le 8 novembre 1942 et le violent combat a fait rage tout au long de novembre. Des intérêts nazis à la Silesian-American Corporation, longtemps contrôlée par Prescott Bush et son beau-père George Herbert Walker, ont été saisis sous le Trading with the Enemy Act le 17 novembre 1942. Dans cette action, le gouvernement a annoncé qu'il saisissait seulement les intérêts nazis, laissant les associés US des nazis continuer les affaires.

    Ces mesures et d'autres prises par le gouvernement US en temps de guerre étaient, tragiquement, trop réduites et trop tardives. La famille du président Bush avait déjà joué un rôle central dans le financement et l'armement d'Adolf Hitler pour sa prise de pouvoir en Allemagne ; en finançant et en dirigeant le développement des industries de guerre nazies pour la conquête de l'Europe et la guerre contre les USA ; et dans le développement des théories de génocides nazies et dans la propagande raciale, avec leurs résultats bien connus.

    Les faits présentés ici doivent être connus, et leurs implications doivent être pensées, pour une compréhension convenable de l'ancien président George Herbert Walker Bush et du danger qu'il représente pour l'humanité. La fortune de la famille du président est en grande partie le résultat du Projet Hitler. De puissantes associations de familles anglo-US, qui plus tard se sont ragaillardies à la CIA et jusqu'à la Maison Blanche, étaient les associés de son père dans le Projet Hitler.

    Prescott Bush et Averell Harriman étaient les financiers originels d'Adolf Hitler et de la fabrication sponsorisé, et c'étaient les prête-noms pour le promoteur numéro un d'Hitler, le banquier et industriel Fritz Thyssen. Tous ont été reliés les uns les autres à travers des montagnes de documents en charabia juridique, d'accords, de sociétés de gestion et des empires de papier qui ont financé les horreurs et le génocide de l'Allemagne nazie d'Hitler. Et tout cela a été fait dans la pleine connaissance et la préméditation de la maffia Bush.

    À nouveau T&C : « Le rapport d'enquête de 1942 du gouvernement US indiquait que la banque de couverture nazie de Bush avait des intérêts imbriqués dans la Vereinigte Stahlwerke (trust de l'acier allemand) dirigée par Fritz Thyssen et ses deux frères. Après la guerre, les enquêteurs du Congrès ont fouillé dans les intérêts de Thyssen, dans l'Union Banking Corp. et dans les unités nazies apparentées. L'enquête a prouvé que le Vereinigte Stahlwerke a fourni approximatives les proportions suivantes de la production nationale allemande totale :

    41,4%


    de la tôle épaisse universelle de l'Allemagne nazie

    36,0%


    de la tôle forte de l'Allemagne nazie

    38,5%


    de la tôle galvanisée de l'Allemagne nazie

    45,5%


    des canalisations et des tubes de l'Allemagne nazie

    22,1%


    du fil métallique de l'Allemagne nazie

    35,0%


    des explosifs de l'Allemagne nazie
        
    T&C fouillent profondément la lourde implication de Prescott Bush dans la gestion d'une compagnie maritime qui l'a placé dans une importante position de contrôle sur encore une autre grande organisation industrielle de soutien nazie, la Hamburg-Amerika Line. T&C avancent, « En de nombreuses manières, la Hamburg-Amerika Line de Bush était le pivot pour le Projet Hitler tout entier.

    Averell Harriman et Herbert Walker avaient gagné le contrôle de la compagnie de navires à vapeur en 1920 dans les négociations avec Wilhelm Cuno, chef de la direction après la Première Guerre Mondiale, et avec M.M. Warburg, les banquiers de la ligne. Par la suite, Cuno a dépendu complètement des anglo-US, et il est devenu membre de la Friendship Society anglo-allemande. Dans la campagne pour la dictature de Hitler de 1930-32, Wilhelm Cuno a versé des sommes importantes au Parti Nazi.

    Il est extrêmement important de noter le nom « Warburg. » Oui, c'est le nom des fameux banquiers juifs qui s'étaient eux-mêmes établis pour se faire rembourser à Versailles les réparations de guerre que l'Allemagne devait rembourser aux alliés après la Première Guerre Mondiale, tel que cela fut organisé par John Foster Dulles, frère de la future puissance prédominante de la CIA, Allen Dulles.

    T&C poursuivent, « Le baron Rudolph von Schroeder était vice-président et directeur de la Hamburg-Amerika Line. Relation intime depuis longtemps d'Averell Harriman en Allemagne, le baron Rudolph a envoyé son petit-fils, le baron Johann Rudolph, en visite aux bureaux de la Brown Brothers Harriman de Prescott Bush à New York en décembre 1932 -- la veille du triomphe de leur Projet Hitler.

    Certaines mesures prises directement par la compagnie maritime des Harriman-Bush en 1932 doivent être rangées parmi les actes de trahison les plus graves de ce siècle. L'ambassade US à Berlin a rendu compte à Washington que les coûts des campagnes d'élection et du maintien d'une armée privée de 300.000 à 400.000 hommes avaient soulevé des questions quant aux bailleurs de fonds des nazis. Le gouvernement constitutionnel de la république allemande s'est déplacé pour défendre la liberté nationale en ordonnant que les armées privées du Parti Nazi soient dissoutes. L'ambassade US a signalé que la Hamburg-Amerika Line achetait et distribuait des attaques de propagande contre le gouvernement allemand, pour tenter [d'empêcher] en dernière minute les actions de restriction contre les forces d'Hitler. Des milliers d'adversaires allemands de l'Hitlérisme furent tirés ou intimidés par l'armée privée des Chemises Brunes Nazies.

    Le début du régime d'Hitler a apporté quelques changements bizarres à la Hamburg-Amerika Line --et davantage de trahisons.

    Le 7 mars 1933, l'American Ship and Commerce Corp. de Prescott Bush a annoncé à Max Warburg à Hambourg en Allemagne qu'il devait être l'officiel de la société, nommé représentant au conseil de la Hamburg-Amerika Line.

    Le 27 mars 1933, Max Warburg a répondu, assurant à ses sponsors étasuniens que le gouvernement d'Hitler était bien pour l'Allemagne : Dans les quelques dernières années les affaires ont été considérablement meilleures que nous l'avions prévu, mais une réaction se fait sentir depuis quelques mois. Nous souffrons réellement aussi de la propagande très active contre l'Allemagne, provoquée par quelques désagréables circonstances. Ces faits étaient la conséquence naturelle de la campagne d'élection très agitée, mais ils ont été extraordinairement exagérées dans la presse étrangère. Le gouvernement est fermement résolu à maintenir la paix et l'ordre publics en Allemagne, et je suis parfaitement convaincu à cet égard qu'il n'y a aucun motif d'alarme quel qu'il soit.

    Ce sceau d'approbation pour Hitler, venant d'un juif célèbre, était exactement ce que Harriman et Bush demandait, pour [amoindrir] l'alarme contre leurs opérations nazies qu'ils prévoyaient assez sérieuse à l'intérieur des USA.

    Le 29 mars 1933, deux jours après la lettre de Max à Harriman, le fils de Max, Erich Warburg, a envoyé un câble à son cousin Frederick M. Warburg, un directeur du système de chemin de fer de Harriman. Il a demandé à Frederick d'user de toute son influence pour faire cesser toute l'activité anti-nazie aux USA, y compris les informations d'atrocités et la propagande peu amicale dans la presse étrangère, dans les grands rassemblements, etc. Frederick a répondu par câble à Erich : Aucun groupe n'est responsable ici de pousser au boycott des marchandises allemandes, seulement des individus excités. Deux jours après, le 31 mars 1933, le Comité Juif Américain, contrôlé par les Warburg, et le B'nai B'rith, fortement influencé par Sulzbergers (New York Times), ont publié une déclaration commune formelle et officielle des deux organisations, conseillant de n'encourager aucun boycott étasunien contre l'Allemagne, et préconisant qu'aucune autre grand rassemblement ne soit tenu ou que des formes d'agitation semblables soient utilisées.

    Le Comité Juif Américain et le B'nai B'rith (mère de la Ligue Anti-Diffamation ou ADL) ont poursuivi dans cette intransigeance, cette position de ne pas attaquer Hitler, durant toutes les années 30, émoussant la lutte lancée par de nombreux juifs et d'autres anti-fascistes.

    Ainsi l'échange décisif reproduit ci-dessus, ayant entièrement eu lieu dans l'orbite de la société des Harriman-Bush, peut expliquer certaines choses sur les relations entre [l'actuel] George Bush, les juifs étasuniens et les dirigeants sionistes. Certains d'entre eux, en étroite collaboration avec sa famille, ont joué un rôle affreux dans le drame du Nazisme. Est-ce pourquoi « les chasseurs de nazis professionnels n'ont jamais découvert comment la famille Bush avait fait fortune ? »

    C'est une information étonnante -- pas étonnant que d'aussi intenses efforts aient toujours été faits pour la supprimer. Tout ne commence-t-il pas à devenir limpide et évident ? Est-ce que l'ignorance n'est pas le bonheur absolu ? Dénichons en quelques implications et voyons comment elles s'empilent jusqu'à notre actuel « Nouvel Ordre Mondial. »

    Dans son livre, Rise and Fall of the Third Reich (Monté et chute du troisième Reich), de William L. Shirer propose que le pillage financier de l'Allemagne par « les banquiers juifs » manigancé par John Foster Dulles des USA, et incorporé au Traité de Versailles à la fin de la Première Guerre Mondiale, était un « mythe » et une « légende. » Cependant, le Traité mentionne précisément les intérêts bancaires juifs qui ont fortement bénéficié du règlement des arrangements de la Première Guerre Mondiale contre l'Allemagne. De plus, la déclaration de Balfour promettant l'établissement d'un État Juif au Moyen-Orient, c'est-à-dire Israël, a été attachée au règlement. Comment peut-on expliquer ça si on considère que la seule participation juive aux hostilités de la Première Guerre Mondiale était dans le processus de règlement fortement influencé par les banquiers sionistes ? Cela n'est ni un mythe ni une légende. [2]

    Mais jetons un coup d'œil au complexe charabia juridique et aux montagnes de documents formalistes d'avocats cachant les investissements fantômes et les cabales qui ont été gérés par Prescott, le grand-père du président George W. Bush. Pourquoi tous ces subterfuges juridiques ? N'est-ce pas évident ? La raison d'être d'Hitler toute entière, la raison totale de l'existence et de la création des nazis avait un objectif originel : La destruction du cartel bancaire international communiste juif conduit par les Rothschild, dont le lien bancaire primitif était celui de la firme bancaires juive de M.M. Warburg. Il devient de plus en plus évident, que tout ces subterfuges ont non seulement dissimulé les véritables financiers d'Adolf Hitler et des nazis aux étasuniens et à leur gouvernement, mais qu'ils les ont aussi dissimulés à Adolf Hitler !

    Et notez s'il vous plaît la complicité des banquiers sionistes liés aux Rothschild, M.M. Warburg, qui, non seulement ont supprimé les informations sur la façon dont Hitler se servait de son armée privée de 300.000 à 400.000 gorilles fascistes en chemises brunes pour tuer, battre et terroriser les allemands qui tentaient de l'empêcher « d'être élu » en 1933, mais ont aussi financé et amené Hitler au pouvoir à leur place. Les banquiers sioniste Warburg ont collaboré avec personne d'autre que le propriétaire juif du New York Times et avec le soi-disant « rabbin » Abraham Foxman de la Ligue Anti-Diffamation du B'nai B'rith pour établir à dessein la résistance juive à Hitler en Amérique, alors que les Warburg finançaient et protégeaient Hitler. [3] Et gardez s'il vous plaît à l'esprit aussi, comment Sulzberger, le propriétaire du New York Times, a caché la vérité, sur le massacre de dix millions d'ukrainiens lors de la famine de 1932 [4], par l'intermédiaire des services de leur journaliste gagnant du Prix Pulitzer, Walter Duranty, qui a collaboré avec le communiste Josef Staline.

    Maintenant nous pouvons finalement comprendre le but du terme « antisémitisme » : il n'a pas été créé par l'ADL du B'nai B'rith de Foxman pour protéger les juifs contre la discrimination, mais plutôt pour protéger l'organisation criminelle juive sous la forme du Sionisme. Hitler croyait que le communisme et le cartel bancaire international secret ont manipulé l'horreur que fut le Traité de Versailles afin d'être ennemis de l'Allemagne -- Il avait raison ! Pourtant ces mêmes ennemis l'ont financé et l'ont amené au pouvoir ! Se rappeler le proverbe Yiddish : « Nos propres juifs nous détruiront ! » Et se souvenir aussi, que l'Holocauste et le massacre des juifs ont été considérés comme des crimes de guerre odieux.

    Les juifs de l'obédience True Torah et les juifs orthodoxes payent le prix quand les juifs sionistes incitent, financent, encouragent et créent des guerres, puis crient à l'antisémitisme quand le monde pointe le « lien juif. » Naturellement c'est injuste et totalement abusif, et c'est aussi ce qui a rendu Hitler et le Nazisme aussi mauvais au point de vue racisme. Mais nous devrions toujours nous rappeler le véritable rôle de trahison joué par les « juifs » sionistes dans le massacre de cinq millions de leur propre espèce. Nous ne devrions jamais oublier cela, alors nous pourrons vraiment apporter une solution au : « Plus jamais ! »

    © 2004 Theodore E. Lang. Tous droits réservés

    Ted Lang est analyste politique et auteur indépendant


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique